Imaginez un gratteux en concert qui ferait tous ses solos dos au public... Ça le ferait franchement pas ! Et bien c'est un peu ce que fait C2C sur scène en nous privant de la quintessence même de leur travail, à savoir tout ce qui se passe sur leurs tables, dont on n'a aucun aperçu. Alors ok, les lights étaient sympas, mais voir quatre silhouettes qui se balancent au dessus de platines pendant plus d'une heure, ça m'a un brin ennuyé... Faut absolument que le crew investisse dans des mini-cams et des écrans. Mention spéciale pour l'hommage à MCA, qui m'a réveillé.
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